L’essentiel à retenir : Conçue avec Adrian Newey et Red Bull Racing, l’Aston Martin Valkyrie allie un V12 (1001 ch) et un moteur électrique (1139 ch total) pour une technologie hybride de pointe. À 1030 kg, son aérodynamisme extrême génère 1,8 tonne d’appui. Produite à 150 exemplaires, elle incarne l’ultra-exclusivité, mêlant performance F1 et design radical.
Vous avez déjà rêvé d’une Formule 1 pour la route, mais cru que c’était inaccessible ? 🚀 L’Aston Martin Valkyrie défie toutes les normes : hybride, aérodynamisme extrême et 1139 chevaux, elle incarne l’union entre course et route. Conçue avec Adrian Newey et Red Bull, elle allie un V12 de 6,5 L à un moteur électrique, avec un rapport poids/puissance record (1 cheval par kilo). Suivez-nous pour découvrir son design futuriste, ses versions exclusives – dont l’AMR Pro pour la piste – et pourquoi elle est promise à l’immortalité. Une œuvre d’art mécanique qui redéfinit le mot « performance » 🔥.
L’Aston Martin Valkyrie, bien plus qu’une simple voiture 🚀
Vous avez déjà imaginé conduire une Formule 1 sur la route ? L’Aston Martin Valkyrie est la réponse concrète à cette envie. Cette hypercarr hybride mélange technologies de course, design avant-gardiste et performances inégalées. Avec seulement 275 unités produites (coupé, Spider et AMR Pro), chaque exemplaire est un objet d’exception.
Derrière ce bijou se cache une collaboration hors du commun. Aston Martin, associée à Red Bull Racing Advanced Technologies, a fait appel à Adrian Newey, légende de la F1. Résultat : un véhicule qui brouille les frontières entre piste et route. Son moteur V12 Cosworth de 6,5 litres, associé à un système hybride KERS, délivre 1 160 ch et 900 N·m de couple. Sa monocoque entièrement en fibre de carbone pèse à peine 1 030 kg, assurant un rapport poids/puissance légendaire.
On vous dévoilera pourquoi son nom évoque la mythologie nordique, comment son moteur V12 hybride déchire les compteurs, ou encore comment ses versions piste (AMR Pro, LM) repoussent les limites. Saviez-vous que sa garantie s’étend sur 3 ans sans restriction kilométrique ? Prêt pour un tour ? Accrochez-vous 👊
L’origine du nom : pourquoi ‘Valkyrie’ ?
Mais au fait, pourquoi ce nom, « Valkyrie » ? Chez Aston Martin, chaque dénomination a un sens. Le choix de ce terme puissant s’inscrit dans une tradition de noms commençant par « V », initiée en 1951 avec le modèle Vantage.
Le nom puise ses racines dans la mythologie nordique. Les Valkyries étaient des divinités guerrières qui sélectionnaient les héros tombés au combat pour les emmener au Valhalla. Ce lien avec la force, le prestige et le destin divin résonne parfaitement avec l’ADN de cette hypercar extrême.
La Valkyrie incarne un parallèle saisissant avec ces figures légendaires. Comme elles, elle est à la fois rare, puissante et réservée à une élite. Avec sa technologie de pointe et son design inspiré de la F1, cette voiture semble « choisir » ses pilotes parmi les plus exigeants. Comme le souligne Marek Reichman, directeur créatif d’Aston Martin, ce nom symbolise une quête d’excellence qui rappelle les 100 ans d’héritage de la marque. Un nom qui collabore à la fois au mythe et à l’innovation automobile contemporaine.
Un cœur de Formule 1 : moteur et performances
Le V12 atmosphérique, une espèce en voie de disparition
Le moteur de l’Aston Martin Valkyrie est un V12 atmosphérique de 6,5 litres signé Cosworth. Atmosphérique signifie qu’il n’utilise ni turbo ni compresseur, respirant naturellement pour une réponse immédiate et un son inégalé. Ce choix reflète une philosophie de pureté mécanique, rare dans l’automobile moderne. Le V12 peut monter jusqu’à 11 100 tr/min, une prouesse inspirée des moteurs de Formule 1 des années 1990, modernisés par deux décennies d’avancées techniques.
Ce V12 délivre 1001 chevaux, un record pour un moteur de série. Pour tenir ce régime extrême, les ingénieurs ont utilisé des bielles en titane et un vilebrequin usiné dans une barre d’acier massif. Ce dernier pèse deux fois moins que celui de l’Aston Martin One-77. La technologie du bloc, conçue avec Adrian Newey, allie tradition et innovation pour une puissance brute inégalée.
L’hybridation au service de la puissance
L’Aston Martin Valkyrie s’associe à un système hybride inspiré de la Formule 1, un KERS (système de récupération d’énergie cinétique). Le moteur électrique, conçu par Integral Powertrain Ltd, et la batterie Rimac (1,3 kWh) ajoutent 160 chevaux et 280 N·m de couple. Ce système, similaire à ceux des monoplaces, récupère l’énergie cinétique au freinage pour la réinjecter sous forme de boost.
En combinant les deux technologies, la Valkyrie atteint 1139 chevaux et 900 N·m de couple, prêts à exploser à la moindre sollicitation. Le système hybride optimise aussi la gestion des rapports pour une efficacité maximale. Résultat : une fusion de l’ancien et du nouveau, sans compromis sur l’âme sportive de la voiture.
L’Aston Martin Valkyrie n’oppose pas le thermique et l’électrique. Elle les fusionne pour créer une symphonie de puissance, où chaque technologie donne le meilleur d’elle-même.
Des chiffres qui donnent le tournis
- Accélération 0 à 100 km/h : environ 2,5 secondes (2,3 à 2,6 secondes selon les conditions).
- Vitesse maximale : 354 km/h (limitée électroniquement), avec un potentiel brut estimé à 402 km/h pour la version AMR Pro.
- Puissance totale : 1139 chevaux, avec un couple de 900 N·m disponible dès 6 000 tr/min.
- Poids à vide : autour de 1 030 kg, offrant un ratio poids/puissance supérieur à 1 cheval par kilo.
Toute cette puissance est gérée par une boîte de vitesses manuelle automatisée à 7 rapports signée Ricardo, un expert britannique en transmissions de compétition. Intégrée à la structure du châssis, elle rappelle les transmissions F1 : ultra-légère et résistante. Le bloc-moteur sert même de pièce porteuse pour la suspension arrière, une idée directement inspirée des monoplaces de course.
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Le secret de la Valkyrie : un design dicté par l’aérodynamisme
Une carrosserie sculptée par le vent
L’Aston Martin Valkyrie est une prouesse d’ingénierie où chaque élément a été optimisé pour la performance. Conçue sous la supervision d’Adrian Newey, légende de la F1, sa carrosserie en fibre de carbone pèse à peine 1030 kg à vide, malgré une puissance hybride dépassant 1100 chevaux. Pourquoi ce poids si léger ? Parce que la monocoque, fabriquée à la main en 950 heures, utilise du carbone T800H avec des inserts en titane (usinés à partir de 58 kg de matière brute pour un poids final de 5 kg).
Le rapport poids/puissance supérieur à 1:1 signifie qu’elle dispose de plus de puissance que de poids. Ce Graal automobile est rendu possible par l’absence de tout élément superflu, y compris des phares au design aérodynamique ou un badge Aston Martin en 70 microns d’épaisseur. Même les jantes en magnésium léger avec écrous centraux rappellent les standards de compétition.
Les tunnels Venturi et le soubassement ouvert génèrent 1800 kg de force d’appui à grande vitesse. Cette adhérence extrême est comparable à une seconde voiture appuyant sur le toit, permettant des virages à des vitesses inédites sur route. Pourquoi ce design est-il si radical ? Parce que 80 % de la surface de la monocoque est dédiée à des fonctions aérodynamiques, pas à l’esthétique.
Un cockpit digne d’un avion de chasse
L’habitacle s’inspire directement de la Formule 1. La position de conduite extrême, avec les pieds surélevés, rappelle celle des monoplaces. Le pare-brise courbe extrême, les écrans à la place des rétroviseurs et le volant détachable renforcent cette approche racing. Le volant, inspiré de la course, intègre un écran OLED et des palettes en carbone pour un ajustement précis.
- Interface numérique totale : Pas de tableau de bord traditionnel, juste un écran central et des données sur le volant, comme en F1.
- Sièges sur mesure : Moulés en 3D pour épouser la morphologie du conducteur, avec un harnais à six points sur les versions piste.
- Conception minimaliste : Même les caméras à la place des rétroviseurs sont optimisées pour réduire la traînée.
Les portes « papillon » ne servent pas qu’à l’esthétique : elles s’ouvrent vers l’avant pour simplifier l’accès à l’habitacle. Ici, chaque détail a une fonction, comme dans une vraie voiture de piste. Mieux encore : on retrouve les mêmes technologies sur la Valkyrie LM, version endurance destinée aux circuits, prouvant que l’innovation ne se limite pas à la route.
Les différentes versions : de la route à la piste
L’Aston Martin Valkyrie incarne différentes visions de la performance automobile. Chaque version répond à un besoin spécifique : plaisir routier, sensations extrêmes ou compétition pure. C’est une démonstration d’ingéniosité qui révèle l’ambition du constructeur britannique.
Les versions routières incluent le Valkyrie Coupé, limité à 150 exemplaires. C’est l’incarnation originale, avec un rapport puissance/poids supérieur à 1:1 grâce à ses 1139 chevaux. Son moteur V12 atmosphérique de 6,5 L (1001 ch) est associé à un système hybride de 160 ch pour des accélérations foudroyantes (0 à 97 km/h en 2,3 secondes). Le Valkyrie Spider, limité à 85 unités, ajoute un toit amovible. Sa structure en fibre de carbone reste rigide, malgré l’absence de toit. Sa vitesse maximale chute légèrement (350 km/h avec toit, 330 km/h sans), mais le V12 Cosworth à 11 100 tr/min offre une expérience sonore unique. Ses portes papillon (butterfly) et son cockpit minimaliste en font un bijou de sportivité.
L’AMR Pro, limitée à 40 unités, est dédiée exclusivement à la piste. Ce n’est pas une simple déclinaison routière sans réglementation, mais une refonte complète. Le système hybride disparaît au profit d’un V12 pur, modifié pour atteindre 11 000 tr/min. L’aérodynamisme est poussé à l’extrême, générant deux fois plus de charge qu’en version route. Résultat : 402 km/h en pointe et des performances sur piste proches de celles d’une Formule 1.
L’AMR Pro n’est pas une simple version piste. C’est la Valkyrie libérée de toute contrainte routière, une expression pure de la performance pensée par Adrian Newey.
Son châssis modifié, allongé de 380 mm, et ses voies élargies (96 mm à l’avant, 115 mm à l’arrière) la transforment en véritable bolide de compétition.
L’AMR-LMH, limitée à 10 exemplaires, vise les 24 Heures du Mans 2025. Développée avec Multimatic, elle reprend l’ADN de l’AMR Pro tout en respectant les réglementations. Son V12 atmosphérique de 6,5L est bridé à 671 chevaux, mais sa légèreté (moins de 1000 kg) et son aérodynamisme agressif permettent des performances remarquables. Dévoilée en été 2024, elle a accumulé des heures de piste à Silverstone et Daytona. En 2025, elle a marqué des points à Spa-Francorchamps et obtenu son premier podium au Petit Le Mans. Comme les pilotes MotoGP, les conducteurs explorent les limites sur circuits, avec une approche similaire à celle des teams sportifs.
Pour tout comprendre en un coup d’œil :
| Modèle | Production (unités) | Usage principal | Particularité |
|---|---|---|---|
| Valkyrie Coupé | 150 | Route | La version originelle de l’hypercar |
| Valkyrie Spider | 85 | Route | Toit amovible pour une expérience à ciel ouvert |
| Valkyrie AMR Pro | 40 | Piste uniquement | Version extrême sans hybridation et aéro optimisé |
| Valkyrie LM | 10 (+ prototypes) | Compétition (WEC/IMSA) | Version de course pour Le Mans 2025 |
Cette diversité démontre l’engagement d’Aston Martin dans l’innovation. Chaque modèle explore les limites de l’ingénierie, avec des matériaux légers (fibre de carbone, perspex), une aérodynamique extrême (effet de sol marqué) et des technologies héritées de la Formule 1. La Valkyrie incarne l’idée de repousser sans cesse les frontières de l’automobile de performance, prouvant que l’ADN de la piste peut s’adapter à la route… et vice-versa.
Posséder une Valkyrie : un rêve exclusif (et complexe)
Un prix aussi stratosphérique que ses performances
Quel est le prix d’une Aston Martin Valkyrie ? Entre 3,5 et 4 millions de dollars, selon la version (coupé, spider ou AMR Pro) et les options choisies. C’est dire si ce bijou technologique s’adresse à une élite. En fait, c’est bien plus qu’une voiture : une œuvre d’art mécanique, un statut symbolique.
Seuls 150 exemplaires du coupé et 85 du spider sortiront des usines d’Aston Martin. Une rareté qui place la marque britannique parmi les plus prestigieuses marques de voitures de luxe, aux côtés de Ferrari ou Bugatti. Une chose est claire : posséder une Valkyrie, c’est intégrer un cercle fermé.
Les contraintes d’une hypercar
Mais ce statut se paie au prix fort, bien au-delà du chèque initial. Acheter une Valkyrie, c’est aussi accepter des restrictions drastiques :
- Usage limité : Aux États-Unis, elle est cantonnée à 2500 miles annuels (environ 4000 km) sous l’exemption « Show and Display ».
- Politique anti-spéculation : Interdiction de revendre rapidement son exemplaire pour un gain rapide, sous peine de voir sa fidélité à la marque révoquée.
- Entretien exigeant : Sa mécanique proche de la F1 requiert des techniciens spécialisés et des coûts élevés, malgré une garantie moteur de 3 ans.
- Garantie sans gratuité : Aucun entretien programmé n’est offert, un détail critique pour un engin de cette facture.
Alors, pourquoi franchir le pas ? Parce que la Valkyrie incarne l’apogée de l’ingénierie automobile. Chaque limitation devient secondaire face à l’émotion d’abriter un morceau d’histoire, un concentré de savoir-faire F1 et de vision futuriste. C’est le prix à payer pour dompter une légende. 🏁
Alors, l’Aston Martin Valkyrie est-elle une future légende ?
La Valkyrie incarne une alliance inédite entre Aston Martin et Red Bull Racing, pilotée par l’ingénieur légendaire Adrian Newey. 🏎️ Ce bijou technique fusionne les technologies de la Formule 1 (KERS, aérodynamisme extrême) avec une homologation route, une première dans l’histoire automobile. Sa version AMR Pro, exclusivement réservée à la piste, pousse le concept encore plus loin, avec 1 300 ch et une vitesse au-delà de 400 km/h.
Ce véhicule marque un tournant en transposant des innovations jadis réservées aux circuits. Son aérodynamisme, générant 1 800 kg d’appui grâce à son plancher ventilé, rappelle les monoplaces de F1. 🌬️ Mieux, la déclinaison LM pour l’endurance (WEC/IMSA) en fait la seule hypercar de compétition issue directement d’un modèle routier. Un exploit technique qui redéfinit les standards de l’industrie.


